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Les remarques sur certaines hypothèses

Dans cette annexe nous touchons certaines idées connues, qui ne sont pas directement liées à la partie essentielle du livre. Commençons par la gravité. La même dépendance de la distance pour les forces gravitationnelles et électromagnétiques nous amène à la fausse pensée du mécanisme unique de l'action de ces deux forces et de "l'explication" de la gravité à l’aide du champ électromagnétique; pourtant cela contredit aux expériences (par exemple, la protection de la gravité n'est pas découverte). On ne peut pas inscrire les forces gravitationnelles au type Van der Waals non plus, car cela suppose l'existence d'une force à longue portée, diminuant faiblement avec la distance (pour recevoir la dépendance quadratique dans le dénominateur, comme dans la loi de Newton), mais cette force n'existe pas. Il est la erroné tentative de faire la gravité symétrique par moyen de l'introduction des charges "massives" aux signes différents. La gravité ne se manifeste que par moyen des forces de la attraction. Excepté la question banale: "Et où est l'antigravité?", il existe un démenti banal de l'approche "de charge". Considérons un grand corps, par exemple, la Terre. Supposons qu'elle est "chargée", par exemple "d'une positive charge massive", et les corps qu'elle attire, ont une "négative charge massive". Considérons un processus contraire (Figure C.1).

Figure C.1: La contradiction de la gravité "de charge".
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\epsfbox{dopfig23.eps}\end{center}\end{figure}

Supposons que nous arrachons de la Terre des grands morceaux et les portons loin dans l'espace. Il est connu que les morceaux, montés de la Terre n'envolent pas dans l'espace eux-mêmes, mais tendent à revenir sur la Terre. Par conséquent "une charge" positive doit "couler" sur la Terre après chaque processus pareil. Avec cela sa grandeur augmentera (pour conserver la charge sommaire). Le dernier morceau $A$ resté sur la Terre attirera des corps avec plus grande force que la Terre le faisait au début. Cela contredit à la proportionnalité de la force gravitationnelle à la grandeur de matière. De plus, il y a une autre contradiction: si nous déchirons le dernier morceau $A$ en deux, quelle moitié sera positive et quelle négative? Ou avec la division en deux, les morceaux s'écartent l'un de l'autre et apparaît l'antigravité? (Bien que la présence ou l’absence de l'antigravité puisse être ne pas liée avec la présence ou l'absence des masses négatives).

Une fausse tentative de la TRG de la géométrisation de la gravité amène aux tentatives de la géométrisation des autres champs, par exemple, du champ électromagnétique. La fausseté de cette idée est évidente: outre des particules chargées il y a des particules neutres, qui "ne sentent" pas des charges jusqu'au moment où elles "se heurteront" à une particule. Donc, dans le même point de l'espace une particule montrerait une courbure électromagnétique de l'espace et une autre montrerait l'absence de courbure. En général, toutes les méthodes analysées de la réunion formelle d'une force inconnue avec une autre force ou phénomènes inconnus sont apparemment peu productifs.

Les différentes généralisations de la théorie statique de la gravitation de Newton avec l'approche de Maxwell semblent plus utiles pour les annexes pratiques (à voir, par exemple [11]). De plus, il y a aussi un autre modèle connu intéressant. C'est dommage, mais souvent on nous indispose contres les modèles mécaniques et nous les prenons avec hauteur. Mais cela est une erreur, parce que des modèles mécaniques sont des modèles uniques qu'on peut créer, "toucher par les mains" et voir leur "capacité de travail". Ils sont compréhensibles à tous: d'un écolier à un savant célèbre et tout le monde peut les discuter (à la différence des modèles, "complètement admis parmi les savants d'une école scientifique isolée"). Concrètement, l'organisation de ce modèle est suivante. Il est supposé que dans l'Univers les petites particules neutres ("lissagènes"; LeSage) volent dans toutes les directions et transfèrent leur impulsion lors des collisions avec des corps. Deux corps jettent une ombre (ou une pénombre) l'un sur l'autre, s’attirent l'un à l'autre avec une force inversement proportionnelle à la distance carrée. Pourtant il existe le seul "mais". Comme des protons et des électrons ne sont pas transparents pour ces particules hypothétiques, une déviation de la formule de la force de la proportionnalité du produit des masses peut avoir lieu pour des corps des grandes dimensions (à un rayon égal environ à une mille de kilomètres et plus). Dommage, mais le confirmer ou démentir dans des expériences directes est encore impossible. Il y avait encore une autre objection: la température des gaz des lissagènes doit être très haute et l'Univers doit "brûler", pace que l'équilibre thermodynamique doit être rapidement installée. Pourtant de nombreuses modifications de cette théorie ont déjà apparu: 1) les lissagènes peuvent être constamment absorbés par des corps (qui "grandissent" constamment); 2) les lissagènes peuvent se transformer, en particules, ayant la possibilité de quitter le corps. Même dans l'aspect expérimental la question de la gravité n'est pas claire. Par exemple il n’y a pas des mesurages de précision de l'influence du mouvement réciproque des corps et de leur rotation sur la force de l'attraction agissant entre eux. Il existe des hypothèses de l'influence de la gravité sur la masse inerte (et, par conséquent, sur des forces inertielles, apparaissant, par exemple lors de la rotation d'une toupie). Lors de la détermination, pas exemple, de la grandeur de la force centrifuge surgit la question suivante (comme manifestation des clichés relativistes, qui nous sont inculquées): par rapport à quoi se détermine la rotation? Il existe un moyen pratique de la détermination par principe du système inertiel. Vu qu'on ne peut déterminer que le CHANGEMENT d'un état (par exemple, la distension d'un ressort entre des bulles tournantes) par rapport à un certain état précédant, on ne peut qu'affirmer que la distension (provoquée par la force centrifuge) sera minimale avec une certaine fréquence de rotation (naturellement, en prenant en compte le changement possible de la direction de la rotation). Si cet "état de la distension minimale" se garde sans dépendance de l'orientation de l'axe de la rotation, il s'agit du système inertiel). La question, si cela sera le système héliocentrique ou autre ne peut pas être résolue théoriquement pour notre unique Univers (les réflexions abstraites de l'élimination de presque tous les corps de l'Univers sont irréalisables du point de vue pratique). Il est évident que la forme (mathématique) des forces inertielles ne changera pas et on ne peut que discuter la dépendance de la masse inerte lui-même de la gravité. Il parait qu'une dépendance pouvant être mesurée de la masse inerte de la direction du vecteur de la résultante de la force gravitationnelle est peu possible (sinon lors de la rotation des liquides dans l'impondérabilité des ellipsoïdes de la rotation ne pourraient pas être observées). La dépendance peu ou prou importante du module du vecteur de la résultante de la force gravitationnelle est aussi peu possible, sinon des calculs des mouvements des comètes, des astéroïdes et des météorites différeraient énormément des données généralement admises (par exemple, selon la loi de la conservation de l’impulsion, si le corps étais volant des corps massifs: Terre, Soleil etc., le corps augmenterait sa vitesse, mais ce est la falsification de la verité). Pour discuter la dépendance de la masse inerte de la grandeur du potentiel gravitationnel sommaire (pour que ses variations lors des mouvement aux grandes distances ne soient pas observables) il est nécessaire au début de déterminer le sens de ce niveau du potentiel égal à zéro du point de vue de la philosophie de la physique générales et le moyen de son installation dans notre Univers unique (pour faire des évaluations quantitatives). Il parait que cette dépendance éventuelle de la masse inerte ne peut pas être grande non plus (à voir la discussion du principe de Makh dans ce livre). Mais dans le cas général cette question peut par principe être résolue seulement à l'aide des expériences. Une série de problèmes cosmologiques pourrait être théoriquement résolue avec la supposition du caractère limité du rayon de l’interaction gravitationnelle [133], mais il est encore impossible de vérifier cette hypothèse car l’effet n’est visible que pour des distances astronomiquement grandes. Donc, la théorie de la gravité reste presque dans le même état, dans lequel Newton l'a laissée. Ce domaine attend un investigateur réfléchi.

Mentionnons maintenant brièvement des hypothèses complémentaires, tachant à répondre à la question "que représente la lumière?" L'acception de la dualité onde-particule ne doit pas paralyser la pensée humaine. On ne peut pas se passer des particularités corpusculaires de la lumière. Et comme il est assez facile d'imiter à l'aide des particules des particularités d'onde (rappelons-nous des phénomènes réels: le son dans l'air, des ondes dans la mer etc.), l'opinion de Newton de la "lumière est plutôt des particules que des ondes" est actuelle même aujourd’hui. Mais la lumière peut présenter une onde pure ou quelque chose d'intermédiaire et avoir une structure intérieure complexe. Tout cela permet de construire des modèles différents de la lumière (Figure C.2).

Figure C.2: Les modèles de la lumière.
\begin{figure}\begin{center}\epsfxsize =11.3truecm
\epsfbox{dopfig24.eps}\end{center}\end{figure}

La lumière, par exemple, peut être aussi décrite comme une onde longitudinale (malgré des expériences de la polarisation), si les particules, dont elle consiste, ont des particularités orientées. Ou elle peut être présentée comme ressemblant à "un pignon tournant". Avec tout cela l'influence d'onde électromagnétique sur le milieu ou sur l'appareil peut être liée avec la fréquence angulaire de la rotation du "pignon" et même mener au rapport $\lambda\nu=c=constant$. Pourtant cette vitesse de la lumière locale (à l'intérieur de l'appareil) $c$ peut ne pas être liée avec la vitesse du mouvement de "la pignon" comme un tout (la vitesse avec laquelle la lumière passe une distance donnée dans l'espace). Dans la supposition de l'existence de la rotation propre d'un photon et de la loi classique de l'addition des vitesses dans [60] on a reçu l'effet Doppler correspondent à celui des relativistes dans les limites de l'exactitude contemporaine des mesurages (jusqu'au deuxième degré à $v/c$). Certains savants se doutent même des expériences généralement admises de Lebedev (sur l'existence de la pression de la lumière): premièrement, on ne sait pourquoi, certaines comètes volent au Soleil en lui tournant la queue; deuxièmement, des évaluations montrent que cet effet est minime par comparaison avec l'effet radiomètrique qui a une valeur beaucoup plus grande. Dommage, mais on ne peut pas considérer les questions concernant la nature de la lumière résolues ni du point de vue pratique, ni théorétique. Elles aussi attendent leur investigateur.

Le sujet plus important, que nous n'avons presque pas touché dans ce livre, est lié aux fondements de l'électrodynamique. Bien sue du point de vue pratique des succès de cette science sont énormes, dans la théorie généralement admise il manque de l'harmonie [20]. Bien des parties de la théorie semblent artificiellement "rattachées" l'une à l'autre. Au moins dans l'aspect méthodique il y reste à quoi travailler. Nous ne mentionnons que brièvement une idée intéressante de la nouvelle approche axiomatique à l'électrodynamique [12], de l'existences des tentatives de faire renaître l'électrodynamique de Hertz et généraliser la force Weber [89]. Rappelons qu’au début on a refusé de la force Weber, parce qu’aux certaines conditions initiales elle menait à l'autoaccélération des charges. Dans la TRR on a aussi découvert l'autoaccélération des charges sous l'action de la force du freinage de l'émission, pourtant dans la TRR on ne sait pourquoi on n'y a pas renoncé (de nouveau il s'agit du double standard). A nos jours le problème de l'autoaccélération (et un autre problème, apparu plus tard, celui de la dépendance angulaire de l'accélération) se résout successivement dans les cadres de la force Weber. Si on considère les équations différentielles de Maxwell étant vraies, au lieu de la force de Lorenz nous aurons une autre “équation serre-file” [135] avec ses propres solutions intéressantes.

Les hypothèses de cette annexe poursuivent le but d’inciter le lecteur aux réflexions indépendantes.


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Sergey N. Artekha