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Quelques conséquences de la théorie de la relativité générale

Passons maintenant aux méthodes mathématiques de la théorie de la relativité générale et aux conséquences de cette théorie. Les jeux avec les propriétés de l’espace-temps mènent à ce que dans la théorie de la relativité générale l’application des méthodes variationnelles est mise en question: les grandeurs sont inadditives, les transformations de Lorentz sont incommutables, les grandeurs intégrales dépend du chemin d’intégration, il n’est même pas clair comment est-ce qu’on puisse croire les points finales comme fixés, si les distances sont différentes dans les différents système de référence.

L’illocalité (non-abrité, l’inadaptation, le non-criblage, le non-cloisonnement, l'non-armature) de la gravitation mène à ce que dans la théorie de la relativité générale pour la présence des lois de la conservation (seulement dans les systèmes du type d’île) les conditions sur l’infinité sont principallement importantes (l’euclidité par suite de l’absence des masses sur l’infinité) [37]. L’approche classique est plus successive et utiles en application pratique: l’énergie est déterminée à la précision du constant, comme le sens physique a seulement le changement local de l’énergie entre deux points du passage. Par conséquent les conditions sur l’infinité n’a rien à voir avec sela.

La procédure de la linéarisation en vue générale suscite un grand doute, comme elle peut être individuelle seulement. On parle ici de l’aspiration à la simplicité, même pour le temps on introduit deux types: de coordonnées et propre. Souvent on fait les correction vers le résultat connu ou d’intuition (classiquement). Comme ça on choisit l’un des signes en temps de calcul de la déflexion d’un rayon de la lumière, par analogie, pour le mouvement d’un périgée de Mercure [3] $du/d\varphi$ peut avoir deux signes, lequel choisir? Ne parlant pas de ce qu’on divise en $du/d\varphi$, mais cette grandeur peut être égale au zéro. On écrit de la complexité des rapports spatiale-temporels, et en résultat on passe trés longtement aux coordonnées habituelles mathématiques, sinon il n’y a rien à quoi on pourrait confronter les résultats. A quoi est-ce qu’on luttait? Au ressemblance à la science?

Jusqu’à présent il n’y a pas assez de démonstrations expérimentales de ce laquelle est la vitesse de la transmission des interactions gravitationnelles: plus, moins ou exactement égale à la vitesse de la lumière (ce qu’on postule dans la théorie de la relativité générale). Par exemple, Laplace et Poincaré [24,87] estimaient, en se basant sur les données des observations, que la vitesse de la transmission des interactions dépasse en quelques degrés la vitesse de la lumière.

Maintenant au sujet de la justification éxperimentalle de la théorie de la relativité générale. D’habitude, même si on a une centaine des données différentes, le théorie ne se construit pas - il est plus facile de les réunir dans un tableau. En cas de la théorie de la relativité générale on a "une Grande théorie de trois et demi observations", desquelles les trois sont fictives. Au sujet de la déviation de la lumière dans le champs gravitationnel du mouvement rectilingue il faut dire le suivant. Premièrement comme la majorité des expérimentateurs, la confirmation quantitative de l’effet considérablement dépend de la foi d’un expérimentateur concret. Deuxièmement, même de la formule classique $m{\bf a} = \gamma mM{\bf r}/r^3$ suit que n’importe quel objet même d’une masse zéro ou négative, va tomber dans le champ gravitationnel. Troisièmement, avec quoi est-ce que l’effet est comparé? Avec l’espace complétement vide? Déjà en 1962 un groupe d’astronomes royaux déclara, que la déviation du rayon de la lumière tout près du soleil ne peut pas être considérée comme la confirmation de la théorie de la relativité générale, car le soleil a une atmosphère, s’étendant à une grande distance. Rappelons que le phénomène de la réfraction est pris en considération pour l’atmosphère de Terre par les astronomes il y a très longtemps. C’était encore Lomonosov qui découvrit la déviation du rayon de la lumière dans l’atmosphère de Vénus. Pour l’éclaircissement, imaginez vous une sphère de verre. C’est évident que les rayons parallèles (des étoiles lointaines) se déviateront en elle vers le centre. Un système pareil est connu à tout le monde comme une lentille optique. La situation pareille sera et pour une sphère de gaz (l’atmosphère du soleil). Pour le calcul exact de la déviation du rayon de la lumière dans le champ gravitationnel il faut tenir compte de la présence de l’atmosphère du soleil et de ce que la présence des gradients de la densité et de la température sur le chemin du rayon provoque le changement de l’indice de la réfraction du milieu et par conséquent, la déviation du rayon de la lumière. Et même si à la distance d’une centaine des métres à proximité de la surface terrestre ces effets provoquent le mirage, alors ne les prendre en vue pour un rayon de l’étoile, passant près du soleil les millions de kilomètres - c’est une pure spéculation.

La déviation du périgée de Mercure - un effet bien sûr pittoresque (mais en seul exemplaire - est - ce ne pas peu pour "l’application à une théorie scientifique"?). C’est pourquoi il serait intéressant de l’observer tout près des corps durs (par exemple, pour les satellites près des planètes), pour qu’on puisse estimer sa grandeur à un chiffre. C'est que le soleil n’est pas un corps dur et le mouvement du Mercure peut provoquer une vague de flux (montante), qui peut à son tour avoir une influence sur le périgée de Mercure. (Dépendement de la vitesse des interactions de la transmission et des propriétés "hydrodynamiques" du soleil la vague peut dépasser, comme retarder du mouvement du Mercure.) En tous cas il faut savoir la vitesse de la transmission des interactions gravitationnelles pour le calcul d’influence du flux de Mercure et d’autres planètes sur les caractéristiques des orbites du Mercure, pour qu’on puisse séparer l’effet purement "gravitationnel" de la théorie de la relativité générale (si cet effet pur existe en général).

En temps de calcul dans la théorie de la relativité générale de la déviation du périgée (de la solution stricte pour un seul point attractif) on a l’impression, que nous savons les masses exactes des corps astronomiques. En réalité si nous utilisons la théorie de la relativité générale comme une amendement pour la théorie de Newton, alors la situation est contraire: on a le problème de restituer leurs masses exactes par le mouvement visible des planètes pour puis les placer dans la vérification de la théorie de la relativité générale. Imaginons nous, que l’orbite d’une planète est rond. En ce cas il est évident, que la période de la révolution dans la théorie de Newton sera déjà pris compte tenu d’une procession invisible, c’est à dire aux normes changées. C’est pourquoi les masses aux normes déjà changées entrent dans la théorie de Newton. Comme les corrections de la théorie de la relativité générale sont beaucoup moins de l’influence révoltant de toutes les planètes et de l’influence de l’insphèricité, la restituation des masses exactes dans ce problème complexe de beaucoup de corps peut changer considérablement la déscription de toute une image du mouvement. Nulle part il n’en tint pas compte. Généralement dit la situation avec la déscription du déviation du périgée de Mercure est typique pour le comportement des relativistes. Premièrement on déclare que l’effet fut prédit, mais l’Einstein le comparait avec les résultats des calculs approximatifs de Laplace, reçus bien avant la théorie de la relativité générale. J’espère que chaque homme comprend une différence énorme entre "prédire" et de "postexpliquer" (souvenons nous d’une historiette de Feinman). Deuxièmement, la précession était dans la physique classique aussi: selon les données du 19 sciècle la grandeur finale de la précession comptait comme 588'' à cause de l’influence de quelques autres planètes, mais pas comme la grandeur finale manquante qui était seulement environ 43'', c’est à dire faisait une petite correction. (Notons, que selon les certaines données du 20 sciècle on indique une grandeur totale de la précession plus grande presque pour un niveau, mais en ce temps là la grandeur de 43'' de la théorie de la relativité restreinte se garde - "le tabou"; d'ailleurs, cela peut être une faute de frappe - ne cherchons pas la petite bête dans un tiers "d’une base immense expérimentale de la théorie de la relativité générale"). Troisièmement le calcul exacte dans le problème de beaucoup de corps ne peut pas être résolu même par les mathématiques contemporaines. Dans le cas classique le calcul était fait comme une somme des corrections indépendantes de l’influence des planètes isolées (et le soleil et les planètes furent estimés comme les points matériels). Naturellement que dans le cas classique le résultat au total (c’est déjà 90$\%$ de ce qu’on voie!) peut être améliorer encore plus en prenant en considération l’insphéricité du soleil, l’influence de toutes les planètes et de petits corps du système solaire et du tel fait, que le soleil - n’est pas un objet dur (le point matériel) et sa densité locale dans les couches différentes, doit tout simplement "dépister" l’influence des autres planète en mouvement (sur ce chemin de l’attiration des mécanismes physiques concrets réels l’effet petit manquant peut être reçu entièrement). Mais ce que les relativistes déclarent - est une spéculation impossible à comprendre! Ils "trouve" l’effet (et seulement ce petit pour cent) ayant examiné les mouvements de deux points matériels seulement - Soleil et Mercure. Excusez, mais comment est-ce que votre théorie de la relativité générale va corriger une partie majeure de l’effet déjà trouvée de classique? Avez peur de compter? Alors laquelle coïncidence brillante est-ce que vous répéter? La correction pure vers le désirable!

La préfiguration "d’un trou noir" dans la solution de Laplace, quand la lumière, se déplaçant parallèlement à la surface commence, comme une satellite artificielle de la Terre de se déplacer en rond, se difère des idées de la théorie de la relativité générale. Rien ne défend pas à la lumière d’une assez grande énergie de quitter le corps perpendiculairement à sa surface. Il n’y pas de doute que les rayons pareils existeront (par les causes intérieures et extérieures): par exemple, les rayons tombants du dehors selon la loi de la conservation de l’énergie peuvent prendre de l’énergie et en cas de la réflection quitter "un trou noir" pareil. Il est plus facile au lieu de l’attirance des propriétés contradictoires de la lumière examiner "la chute" d’un corpuscule élémentaire, par exemple de l’électron. Reste-il pour lui la possibilité de la réfléction élastique ou il faut interdire postulativement une telle possibilité (pour le sauvetage de la théorie de la relativité générale)? Si n’interdire pas quand même une telle possibilité, alors examinons le processus suivant. Supposons que l’électron commence de tomber à la vitesse initiale de zéro du point éloigné $A$ (par exemple de la distance de 100 unités astronomiques) sur un corps très massif (Figure 2.8), qui absorbe "les dernières molécules superflues les plus proches" et devient "un trou noir" un instant avant le moment quand notre électron traversera une sphère de Shvartsilde (marquée sur l’image comme $B$).

Figure 2.8: "La chute" sur "un trou noir".
\begin{figure}\begin{center}\epsfxsize =10truecm
\epsfbox{dopfig32.eps}\end{center}\end{figure}

La distance $\vert OB\vert$ pour l’évidence représenta comme très distendue. Comme un instant avant la collision d’un électron avec la surface d’«un trou noir» cet objet était stable et ni la vitesse, ni l’accélération de cette surface ne peuvent pas devenir très grandes dans un moment (la collision aussi pouvait se passer avec une corpuscule termique volant à sa rencontre), alors en temps de la collision élastique l’électron que nous choisîmes s’envolera vers le point $A$ à la même vitesse qu’il acquit avant la collision. On affirme qu’il ne pourra pas surmonter la sphère de Chvartschilde $B$. Supposons, qu’il s'arrêta dans le point $C$ (par exemple à la distance 10 kilomètres du centre). Si la loi de la conservation de l’énergie est accomplie, comme dans les points $A$ et $C$ la vitesse d’un électron est zéro, alors son énergie potentielle dans le point $A$ et aussi égale à l’énergie potentielle dans le point $C$. Il en suit qu’entre les points $A$ et $C$ il n’y a pas du champ gravitationnel (de la force de gravitation), sinon le potentiel deverait diminuer monotonement. Cependant l’examination de la situation purement du point de vue de la théorie de la relativité générale donne un résultat pire (regardez au-dessous). "Les trous noirs" dans la théorie de la relativité générale - est un mystique total. Si on prend un long pivot, alors en temps du mouvement sa masse augmentera, mais les dimensions diminuerons (selon la théorie de la relativité restreinte). Est-ce que "un trou noir" se forme? Tout le ciel se remplira de trous noirs si se déplacer vite. Et ce processus serait irréversible selon la théorie de la relativité générale. Par exemple, pour la lumière qui se déplace vite n’iporte quel objet de l’univers est un trou noir (comment est-ce qu’elle existe encore?).

Rapelons quelques solution universellement connues: 1) la solution de Chvartschilde décrit "un champ" statique centralement symétrique dans le vide (remarquons, que il n’y a pas de caractéristiques de la température, c’est à dire T=0K); et 2) la métrique axialement symétrique de Kerre détermine "le champ" gravitationnel d’un collapseur tournant. La présence des singularités ou des liens nombreux de la solution signifie, que c’est au minimum dans ces domaines que la solution est inapplicable. Une situation pareille a lieu avec le changement de la signature de l’espace et du temps pour "un trou noir" dans la solution de Chvartschilde et il ne faut pas chercher un sens artificiel philosophique quelconque. La singularité physique dans la solution de Chvartschilde quand $r=r_g$ ne peut pas être éliminer seulement par les transformations mathématiques: l’ajoutation de l’infinité à un autre signe à ce point - c’est un jeu artificiel avec les infinités, et pour une telle procédure il fait avoir une base de physique. (Quand même n’élimine-t-on pas la particularité en zéro par l’ajoutation artificielle d' $\alpha \exp{(-\lambda r)}/r$, où $\lambda$ - une grandeur plus grande?)

Même de la téorie de la relativité générale il suit l’impossibilité d’observer les "trous noirs": le temps de la formation d’«un trou noir» sera infini pour nous comme pour les observateurs éloignés. Et comme le collapsus ne peut pas finir, les solutions n’avont pas de sens, qui distinguent que tout est déjà passé (même si nous attendrons jusqu'à "la fin de jour (monde)", aucun trou noir ne pourra pas se former). La division des événements pour l’observateur intérieur et extérieur est caractérisée par le temps infini - c’est pas "un exemple extrême de la relativité de la marche de temps", mais la manifestation élémentaire de la contradiction de la solution de Chvartschilde. Le même fait est démonstré par "l’incompletité" (l'imperfection) des systèmes des solutions. Il n’est pas clair, qu’est ce que se passera avec la loi de la conservation de la charge, si plus de charges du même signe s’en iront dans "un trou noir"? La déscription mystique des "forces métriques de flux" [39] en temps de l’approche à "un trou noir" est innaturelle, comme cela signifierait que le gradient de la force gravitationnelle dans les limites du corps est haut, mais tous les idées de la théorie de la relativité générale sont basées sur les hypothèses contraires. La métrique de Kerra en présence de la rotation montre aussi évidement l’inconsistance de la théorie de la relativité générale: mathématiquement strictement elle donne quelques solutions physiquement irréelles (les mêmes operations que pour la métrique de Chvartschilde ne sauvent pas la situation). Ainsi, un tel objet de la théorie de la relativité générale comme "les trous noires" ne peut pas exister et doit être transporter de la domaine de la science dans la domaine de la fiction pas scientifique. Tout univers témoigne que le monde est étonnement stable, souvent dynamiquement, mais il n’y a pas de collapsus infinis (plutôt l’explosion aura lieu). Tout cela n’annule pas du tout la possibilité de l’existence des objets supermassifs (mais dynamiquement stables) qui peuvent se manifester entièrement comme une série des effets (par exemple comme l’accrétion, le rayonnement etc.). Pour cela on n’a pas besoin du tout de fantaisies de la théorie de la relativité restreinte et générale. Il ne faut pas aussi chercher les chemins du sauvetage artificiel de la théorie de la relativité générale en image de "l’êvaporation des trous noirs", comme il n’y a pas d’une telle posibilité dans la théorie de la relativité générale (la vitesse de la lumière est insurmontable), mais dans le classique, au contraire, il n’y a pas aucuns problèmes.

La théorie de la relativité générale contient un grand nombre des prémisses douteuses et de resultats. Enumérons certains d’eux. Par exemple, l’exigence pour les petites vitesses même comme les faiblesses du champ gravitationnel sont douteuses: si placer un appareil sur une planète massive, est-il possible qu’il ne puisse pas rester immobile ou se déplacer lentement? Est-ce que, malgré les fluctuations de température les molécules aux petites vitesses ne se trouveront pas? Aussi examination du champ symétrique central dans la théorie de la relativité générale n’a pas de sens physique: comme la vitesse peut être seulement radicale, alors non seulement les rotations ne peuvent pas exister, mais même les caractéristiques réelles de température, c’est à dire $T=0$K. On ne reçoit pas le champ dans une cavité de la manière commune, mais on postule tout simplement deux constants différents, pour qu’il n’aura pas des particularités.

Le rayonnement des ondes gravitationnelles pour le mouvement parabolique (avec l’excentricité $e=1$) mène à une perte infinie de l’énergie et du moment de l’impulsion, ce que contredit aux données d’expérience.

En fait la théorie de la relativité générale peut être employée seulement devant les champs et les rotations faibles, c’est à dire dans le même domaine, que la théorie de Newton de la gravitation. Souvenons nous, qu’une interaction analogue entre les charges déplacentes se différent de la loi statique de Coulon. C’est pourquoi avant d’appliquer la loi statique de la gravitation de Newton, il faut le vérifier pour les corps en mouvement, et c’est la prérogative de l’expérience.

Discutons encore un moment de principe, qui concerne la relativité de toutes les grandeurs dans la théorie de la relativité générale. Les lois, inscrites simplement comme les équations, ne déterminent rien eux mêmes. Pour la solution de n’importe quelle problème il faut encore le savoir de la concrétisation : les caractéristiques des corps (masse, forme, etc.), des conditions initiales ou/et limites, des caractéristiques des forces (grandeur, direction, les points de la application etc.). En fait "les points repères" sont donnés ici, relativement auquels on étudie les changements suivants des grandeurs (de la situation, de la vitesse, de l’accélération, etc.). La relativité principale de toutes les grandeurs dans la théorie de la relativité générale contredisent aux expériences. Une tentative artificielle suivante introduit l’accélération (ou les rotations) relativement à un système local géodésique inértiel de Lorentz - c’est tout simplement l’ajustement vers les seules coordonnées de l’espace absolu qui fonctionnent et qui sont expérimentalement vérifiées (la théorie de la relativité générale organiquement ne contient rien de pareil [18]).

Le constant gravitationnel n’est pas un constant mathématique, mais qui subit les variations [9]. C’est à dire, une grandeur donnée peut aussi tenir compte des corrections à la loi statique de la gravitation de Newton (par exemple, l’analyse de ces influences en temps de calcul du déplacement du périgée du Mercure ne fut pas faite). Rappelons qu’en temps du mouvement fini (par exemple, celui de périodique) dans le système cohérent de beaucoup de corps les phénomènes différents de résonance peuvent être observés, qui s’expriment en corrections coordonnées les paramètres des orbites (surtout compte tenu des dimensions finales des corps - l’insphèricité de leurs formes et/ou de la distribution de la masse).

En général, le principe de la proximité de l’action peut être utile pour la gravitation (et non, cela dépend de la vitesse de la transmission des interactions gravitationnelles), seulement dans un nombre limité des cas : aux vites ($v\rightarrow c$) déplacements des corps massifs (d’un rang) les uns tout près des autres. L’auteur ne connaît pas les exemples pratiques pareills.

L’approche de la théorie de la relativité générale pour la gravitation est unique: se férmer dans une cabine de l’ascenseur, jouissant la chute, et ne savoir pas, que dans un instant tu vas te tuer. Bien sûr en réalité la situation est une autre: nous voyons toujours où et comment nous nous déplaçons relativement au centre attirant. Contrairement à Teilor et Uiller c’est la deuxième "particule" elle-même avec l’observateur - la première "particule". C’est justement pourquoi l’approche purement géométrique vers la gravitation est une branche temporelle sur la voie de la physique (bien que, comme un instrument de calcul elle peut être utile un jour). Et les deux voyageurs dans une parabole du livre [33] (qui soit disant démonstrent l’approche géométrique de l’espace déviaté) ont besoin d’«un tout petit peu»: le désir de se déplacer de l’êquateur justement le long des méridiens sur la surface sphérique de la Terre, et les autres cinq milliards des hommes peuvent ne pas avoir aucune désir. Pour distinguer de la volonté des voyageurs, il est égale combien de temps vous souhaitez de ne soyez pas attiré à la Terre ou au Soleil et s’envoler en cosmos sans aucun effort, votre désir - c’est pas suffisant. Un phénomène pareill reflète la notion de la force (en ce cas de la force de gravitation). La géométrie ne peut pas répondre aux questions: combien de types de l’interaction sont réelisées dans la nature, pourquoi seulement eux, pourquoi les masses localisées existent, les charges, les particules, pourquoi la force de la gravitation est proportionnelle justement au deuxième degré de la distance, pourquoi tells ou tells constants stables se réalisent dans la nature et aux beaucoup d’autres. Ces questions sont la prérogative de la physique.


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Sergey N. Artekha